2,
6, 97, 2000
Donnez des vitamines à
votre imprimante
Si votre imprimante vous paraît un peu poussive sous Word 6.0, vous pouvez essayer, à défaut d'acheter une imprimante plus rapide, les pistes suivantes : Vérifiez que votre disque
dispose d'au moins 5 Mo pour les fichiers temporaires ! doit être présente dans votre AUTOEXEC.BAT et renvoyer à un lecteur existant réellement. Choisissez une impression en
arrière-plan et le plus haut niveau de priorité dans votre
gestionnaire d'imprimante. |
Accélérer Word 6 : augmenter la mémoire cache Que Word se "traîne" sur un ordinateur correctement équipé (8 Mo de RAM ou plus), n'est guère admissible. Effectuez un double clic sur WINWORD6.INI dans le dossier WINDOWS. Vous serez en mesure d'y définir la mémoire cache dont Word a besoin pour fonctionner "correctement". Dans la section [Microsoft Word] la ligne : CACHESIZE=nnn représente la taille de la mémoire cache. Par défaut, vous y verrez une valeur de 64 Ko. C'est absolument insuffisant pour travailler de manière intensive, comme sur l'ouvrage que vous êtes en train de lire par exemple. Toutes nos expériences ont prouvé que les valeurs suivantes sont légitimes : RAM de 8 Mo Cache de
1 Mo Au prochain redémarrage de Windows et de Word, vous verrez comme les choses ont changé ! Vous devrez cependant faire attention, et nous attirons donc votre réflexion sur le problème, à un fonctionnement multitâches : si vous passez à une autre application depuis Word, vous allez perdre vos nouveaux avantages acquis ! |
Modifier la valeur du cache
pour les images
Si vous travaillez beaucoup avec des images, il n'est sans doute pas absurde de définir également un bon cache dans WINWORD6.INI et de donner comme valeur de base 1024 Ko. Vous le faites dans la ligne : BitMapCacheSize= À n'en pas douter, vous serez très surpris de l'incroyable différence. Là où Word rencontrait tout de même certaines difficultés avec les images, vous conviendrez qu'il s'en tire désormais beaucoup mieux. Vous ne devriez cependant modifier la valeur du cache que si vous travaillez très régulièrement avec des images. Autrement, laissez le système gérer la chose. |
Un Word 6 rapide : pourquoi
ne pas copier sur Word 7 ?
Les utilisateurs de Word 7.0 peuvent toujours rechercher le fameux WINWORD6.INI. Ils ne le trouveront pas, à moins de fonctionner avec les deux versions de Word. La raison est simple : Windows 95 ne fonctionne plus vraiment de la même manière et il n'a plus besoin de fichiers .INI (sauf pour une raison de compatibilité justement). Ce dont se nourrit Windows 95 est bien la base de registres où vous pourrez retrouver sous HKEY_CURRENT_ USER\ SOFTWARE\MICROSOFT\WORD\7.0\OPTIONS les différents paramètres susceptibles d'être utilisés par Word 6 et qui peuvent être introduits dans WINWORD6.INI. Une seule vraie remarque à ce propos : bien que les choses se ressemblent étrangement, il apporte une véritable modification. Si vous donnez à CacheSize une valeur supérieure à 2047, vous n'arriverez pas à relancer Word par manque de mémoire. Il convient donc de rester juste en dessous de 2 Mo. |
En finir avec les impressions
floues : Améliorer la qualité papier Si vous rencontrez des petits problèmes à l'impression, notamment s'il y a des ombrages ou des cadres, et que les choses sont un peu floues, vous pouvez essayer d'améliorer la situation en ajoutant la ligne : SlowShading=yes dans WINWORD6.INI. Word va alors utiliser un algorithme plus lent pour l'ombrage et les résultats sont habituellement nettement améliorés, notamment sur les imprimantes HP. |
Modifier WINWORD6.INI directement
depuis Word
Une commande non documentée vous permet de modifier l'important WINWORD6.INI, directement depuis Word. Activez pour commencer Outils/Personnaliser/Menus. |
Les bons paramètres
pour Word 6 et 7
Le tableau suivant récapitule les paramètres essentiels de WINWORD6.INI ou ceux de la base de registres : Entrée Valeur
|
Se débarrasser du
ballast inutile : Des outils superflus dans Word Si vous souffrez cruellement du manque de place, vous pouvez renoncer sans aucune difficulté à certains utilitaires tels que le dictionnaire anglais ou encore le dictionnaire de synonymes. Vous allez déjà récupérer quelques Mo sans doute. Avec Word 6, vous allez retrouver ces utilitaires dans le dossier MSAPPS\PROOF où vous allez repérer les fichiers se terminant par l'extension .LEX. Un fichier comme MSSP2_EN.LEX est, par exemple, le dictionnaire anglais. Si vous n'en avez vraiment pas besoin, vous pouvez le supprimer en toute quiétude. Sous Word 7, vous retrouverez ce type de fichier dans PROGRAM FILES\FICHIERS COMMUNS\MICROSOFT SHARED\PROOF. |
Gagner encore de la place
: supprimer les cliparts
Pour gagner encore un peu de place, vous pourrez sans vrai dommage supprimer les cliparts fournis avec Word, sauf si naturellement vous en avez réellement besoin. Vous pouvez supprimer le dossier CLIPART (qui sera un sous-dossier de MSOffice ou de Winword en fonction de votre installation). Vous pourrez donc également supprimer sans problème le dossier ARTGALRY (PROGRAM FILES\FICHIERS COMMUNS\MICROSOFT SHARED\ARTGALRY). |
Office à la carte : Charger un programme dans la bonne configuration Imaginons que vous souhaitiez ouvrir un document Word en plein écran. Quelle que soit la manière dont vous lancez Word et ouvrez votre document, vous serez conduit à activer la commande Affichage/Plein écran. Vous pouvez faire beaucoup mieux en utilisant une commande DDE que vous lancez avec un double clic. Ce que nous allons dire sur Word est, bien entendu, possible pour tous les parents de la famille Office. Dans l'Explorateur, activez Affichage/Options/Types de fichier. Bien entendu, l'application sera Winword. |
Économiser du temps
avec DDE : Office peut être rapide
Si vous souhaitez utiliser des commandes DDE pour améliorer vos accès aux programmes, vous devrez tenir compte des facteurs suivants : Vous pouvez donner un nombre indifférent de commandes DDE les
unes à la suite des autres. Avec ces différentes techniques, vous serez en mesure de donner un certain nombre de paramètres pour l'ouverture de vos fichiers, sans avoir nécessairement besoin de définir une macro AUTOEXEC ou AUTOOPEN. |
Quand vous protégerez le document pour que le formulaire soit accessible,
vous utiliserez le bouton Sections pour définir quelle section doit être
protégée. Il s'agira bien évidemment de celle où
vous avez établi le formulaire destiné à gérer les
adresses.
Quand vous regardez de près la saisie d'un texte dans une liste déroulante,
vous êtes étonné par le peu de place dont vous disposez.
Contrairement aux apparences, la taille du champ n'est cependant pas limitative,
vous pouvez donc saisir du texte beaucoup plus long qu'à ce qu'il n'y
paraît.
Lorsque vous levez la protection d'un document pour pouvoir y apporter des modifications, les textes saisis dans les champs sont effacés. Vous pourrez cependant éviter ce genre de désagrément en réalisant la petite macro suivante :
Sub Main
On Error goto Fin
OutilsProtégerDocument .PasDeRestauration = 1, .Type = 3
Fin:
End Sub
De plus, si vous affectez un raccourci clavier à cette macro, vous y
gagnerez en efficacité.
La touche Entrée assure un nouveau paragraphe dans le champ de formulaire avec Word 7.0. Dans la version 6.0, elle passe au champ suivant. Si, dans cette version, vous voulez créer un nouveau paragraphe, vous devrez utiliser la combinaison Alt + 011 (sur le pavé numérique !). Une tabulation, quant à elle, s'obtient avec 09. Si cela vous paraît un peu compliqué, pourquoi ne pas affecter ces combinaisons de touches à des touches que vous n'utilisez "jamais", comme la touche Pause, par exemple. Notre petite macro affecte la combinaison Alt + 013 à la touche Pause et la combinaison Alt + 011 à Alt + Pause :
Sub Main
OutilsPersonnaliserClavier .CodeTouche = 19, .Catégorie = 6, .Nom = Chr$(13),
.Ajouter
OutilsPersonnaliserClavier .CodeTouche = 1043, .Catégorie = 6, .Nom =
Chr$(11), .Ajouter
End Sub
Lorsque vous avez défini un formulaire et que vous l'avez protégé pour qu'il puisse être opérationnel, vous n'avez plus moyen de modifier le texte de base. D'autre part, vous ne pourrez saisir, dans les différents champs du formulaire, que des données du type autorisé. C'est ainsi que cela est prévu, et il n'y a rien à redire sur cette réelle sécurité que propose le formulaire. Les choses risquent de se passer autrement si vous avez élaboré une macro pour assurer certains automatismes dans le formulaire. Par exemple, si vous avez défini une entrée différente d'un champ dans le formulaire, et vous permettant de définir sur une facture la mention "Facture" ou "Copie", avec
EditionAtteindre .Destination="Intitulé"
Insertion "Facture"
vous allez vous rendre compte que cela ne fonctionne pas puisque le formulaire
est protégé. La solution consiste à lever provisoirement
la protection, et à la remettre, aussitôt que l'opération
est effectuée :
Sub MAIN
OutilsSupprimerProtection
EditionAtteindre .Destination ="Intitulé"
Insertion "Intitulé"
OutilsProtégerDocument .PasDeRestauration = 1, .Type = 2
End Sub
Veillez bien à ce que .PasDeRestauration = 1 soit présent pour
ne pas effacer les données existantes.
Si vous avez créé des cases à cocher pour un même domaine, vous serez surpris de constater que l'activation de l'une d'entre elles n'empêche pas de cocher également les autres. Ce qui est totalement incohérent puisque vous ne pouvez pas, par exemple, être Monsieur, Madame ou Mademoiselle en même temps... L'idée qui prime c'est bien que si vous cochez une case, vous ne pouvez plus cocher les autres, ou que si vous le faites, la première sera automatiquement désactivée. Voici, une petite macro pour demeurer crédible :
Sub MAIN
If LitRésultatFormulaire ("CaseACocher1") = 1 Then
DéfinirValeurFormulaire ("CaseACocher2") = 0
DéfinirValeurFormulaire ("CaseACocher3") = 0
DéfinirValeurFormulaire ("CaseACocher4") = 0
DéfinirValeurFormulaire ("CaseACocher5") = 0
End If
End Sub
Si la première case à cocher est active, les autres (et notre
exemple n'est pas limitatif, mais vous en aurez tout de même rarement
plus de cinq dans la même rubrique) sont automatiquement désactivées.
Pour les autres cases, vous procéderez exactement de la même manière,
en gardant la cohérence de votre propos bien évidemment :
Sub MAIN
If LitRésultatFormulaire ("CaseACocher2") = 1 Then
DéfinirValeurFormulaire ("CaseACocher1") = 0
DéfinirValeurFormulaire ("CaseACocher3") = 0
DéfinirValeurFormulaire ("CaseACocher4") = 0
DéfinirValeurFormulaire ("CaseACocher5") = 0
End If
End Sub
Quand vous utilisez des champs calculés dans un formulaire, ce qui au demeurant est une excellente initiative, vous serez sans doute déçu de voir que votre saisie n'est suivie d'aucun résultat tangible. Vous ne vous en sortirez pas sans une macro. Il faudra bien en passer par la fonction DéfinirValeurFormulaire "Nom" ou "Nom" représente le champ du formulaire dans lequel s'effectue le calcul. Réalisez votre macro sans oublier qu'elle doit être exécutée à la sortie du champ, et non à son ouverture. Si, dans votre facture, un tel champ se nomme "Total", votre macro comprendra la ligne suivante :
DéfinirValeurFormulaire "Total"
La macro sera appelée à la sortie du champ, et le calcul actualisé.
Si vous voulez générer une numérotation continue dans des formulaires, vous allez constater que les formats de nombres ne sont pas très bien adaptés à votre préoccupation. Ils ont en effet fortement tendance à supprimer les 0 initiaux. Pratiquement personne ne sait que les formulaires utilisent la même structure qu'Excel. Vous avez donc l'espoir de pouvoir générer un format de type 000 000. Les 0 seront affichés alors qu'ils ne le seront pas si vous utilisez les signes dièses (#).
Un format de type #.###,## rend 0,1 ou ,1, puisque les dièses n'affichent
pas les 0 (souvent inutiles il est vrai). Le format #.##0,00 force cependant
la présence d'un 0 avant la virgule ainsi que la présence de deux
chiffres après la virgule.
Dans la saisie d'un formulaire, notamment lorsqu'il s'agit de nombres, il est toujours intéressant de vérifier que la saisie ait un sens. LitRésultatFormulaire va nous venir en aide à ce propos. Prenons l'exemple d'un code postal qui serait supérieur à 99999 (impossible aujourd'hui en tout cas).
Sub MAIN
CP$=LitRésultatFormulaire$("Texte1")
CP=Val(CP$)If CP>99999 Then
MsgBox "Le Code Postal " + CP$+" n'est pas réaliste !"
End If
End Sub
Les champs sont normalement définis en toute indépendance les uns des autres. Mais il peut être intéressant de leur trouver des liens de manière, par exemple, à les remplir automatiquement en fonction de ce qui a été saisi dans l'un d'entre eux. LitRésultatFormulaire va de nouveau nous aider dans cette démarche. Son pendant sera bien entendu DéfinirValeurFormulaire.
Sub MAIN
If LitRésultatFormulaire$("ListeDéroulante1")="Monsieur" Then
DéfinirValeurFormulaire "Texte2", "Cher Monsieur"
ElseIf LitRésultatFormulaire$("ListeDéroulante1")="Madame" Then
DéfinirValeurFormulaire "Texte2", Chère Madame"
Else
DéfinirValeurFormulaire "Texte2", "Madame, Monsieur"
End If
End Sub
Quand vous introduisez un champ dans un formulaire, il lui est automatiquement attribué un numéro continu. C'est très utile, notamment dans une macro, lorsque vous voulez vous référer à un champ particulier. Mais si vous déplacez le champ dans le formulaire, en le coupant vers le Presse-papiers et en le collant à un autre endroit, il conserve cependant son appellation (comme Texte1), alors qu'il a réellement été supprimé dans la procédure comme Edition/Signet vous le confirmera au demeurant.
Effectuez donc immédiatement après le collage un double clic
dans le champ ainsi déplacé. Placez le pointeur dans la zone de
saisie et quittez la boîte de dialogue. Grâce à cette toute
petite chose, vous rétablissez le signet, comme Edition/Signet vous le
confirmera aussitôt, mais vous aurez évité d'avoir à
le redéfinir.
Si la souris ne vous fait pas peur, vous pouvez déplacer un champ de
formulaire avec la technique du glisser/déplacer sans risquer d'en effacer
son signet. La seule chose à laquelle vous devrez sans doute faire attention
est la vitesse du défilement si votre formulaire fait plus d'une page
écran. Vous risquez de ne pas vous positionner exactement à l'endroit
souhaité. Dans ce cas, Vous pourrez utiliser beaucoup plus calmement
la touche F2.
Si vous introduisez dans votre formulaire un champ de texte de longueur illimitée, cela peut rendre d'éminents services. Il n'en demeure pas moins qu'un champ texte n'est pas l'idéal pour saisir librement du texte. Le plus efficace sera donc de définir votre en-tête de fax, par exemple, sous forme de formulaire, et de définir une nouvelle section pour votre texte "libre".
Réalisez l'en-tête sous forme de formulaire.
Placez le curseur en dessous du formulaire et définissez un saut de section
en continu. Vous créez de la sorte une nouvelle section, mais sans saut
de page.
Activez ensuite Outils/Protection du document/Sections.
Confirmez que c'est bien la première section que vous souhaitez protéger,
et non la deuxième.
Seule la première partie de votre document sera considérée
comme un formulaire (protégé donc). Dans la deuxième section,
vous pourrez faire ce que bon vous semble.
Les champs sont une chose extrêmement utiles avec Word. Pour la numérotation des pages, pour l'insertion d'illustrations, pour la date courante, etc. Une bonne utilisation des champs peut très fortement améliorer l'efficacité de votre travail. Avant d'en parler un tout petit peu plus, il faut bien savoir que la touche F9 permet d'actualiser le contenu d'un champ et que la touche F11 permet de se déplacer d'un champ à l'autre.
Des combinaisons sont également à votre disposition :
Touches Effet
Ctrl + F9 Insère un champ à la position du curseur. Le champ
est symbolisé par deux accolades ({}) entre lesquelles le curseur est
automatiquement placé
F9 Actualisation d'un champ. Fonctionne pour tous les champs si le document
entier est sélectionné
Alt + F9 Affiche non le résultat du champ, mais le code de tous
les champs
Maj + F9 Affiche non le résultat du champ sélectionné
Maj + Ctrl + F9 Supprime le champ, mais non son contenu
F11 ou Alt + F1 Passe au champ suivant
Maj + F11 ou Maj + Alt + F1 Passe au champ précédent
Ctrl + F11 Verrouille un champ. Aucune mise à jour ne sera possible
Maj + Ctrl + F11 Déverrouille un champ verrouillé
Les touches et combinaisons de touches pour gérer efficacement les champs
Si vous avez différents documents où un résultat apparaît, comme dans une facture par exemple, vous pouvez avoir besoin de calculer à partir de ces différents documents, de manière à effectuer, pourquoi pas ? le total de votre facturation. Pour y parvenir, marquez d'un signet chaque montant devant être pris en compte dans les documents individuels et créez un champ InclureTexte dans le document final.
Dans chacun des documents, vous créez un signet pour les valeurs à retenir. Notez qu'il vous faudra cependant donner des noms de signet différents et le plus efficace est sans doute de définir une numérotation continue du type Fac_001, Fac_002, etc.
Dans le document récapitulatif, vous créez un champ InclureTexte par document.
{inclureTexte Document Signet}
où Document est le nom du fichier et Signet le nom du signet.
Vous pouvez maintenant effectuer le calcul avec une fonction du type :
{=SOMME(FAC_001;FAC_002;FAC_003;...)}
Dans un texte, vous aurez parfois besoin de superposer deux mots pour améliorer votre présentation. Dans le style "adressez-vous à untel ou untel". Vous y parviendrez sans mal avec un petit champ efficace :
Veuillez vous adresser à : {EQ \f(Monsieur Adrien; Monsieur Esparron)}
Vous auriez sans doute pu essayer de vous en sortir avec des indices et des
exposants. Le champ EQ est sans nul doute beaucoup plus efficace. Vous réalisez
directement ce qu'il convient d'appeler une fraction. Un appui sur F9 vous donne
la présentation à laquelle vous songiez.
Word supporte parfaitement deux champs, non documentés, qui permettent d'assurer des liaisons DDE, sans écrire la moindre ligne de code. Si vous voulez, par exemple, créer une liaison DDE avec un document Excel, vous n'aurez qu'à créer (Ctrl + F9) un champ dans lequel vous taperez :
{DDE Excel Fichier.xls A99}
Ce champ assure une liaison DDE directe avec le fichier Excel concerné
en particulier dans notre exemple, la cellule A99. C'est tout !
Le champ DDEAUTO, assure pour sa part une mise à jour automatique entre
le serveur et le client de la liaison DDE.
Pas de numérotation automatique des titres
Avec Format/Numérotation des titres, Word vous propose par défaut
une numérotation de 1 à 9. La fonctionnalité est sans aucun
doute intéressante, mais elle ralentit sensiblement la vitesse de travail.
Laissez la chose inactive jusqu'à votre impression papier, où
vous voudrez sans doute voir apparaître cette numérotation. Autrement,
vous pourrez utiliser les champs Numlglauto ou Numplanauto qui ne posent pas
ce même genre de problème. Conseil pour conseil : sélectionnez
le champ et avec un double clic, faites-en une insertion automatique. Vous l'aurez
toujours à disposition.
Dans bien des documents vous utilisez des notes de bas de page ou de fin. Se pose cependant toujours le même problème : comment gérer "voir aussi la note 5 page 56" ? Très simplement :
Vous sélectionnez l'appel de note et lui attribuez un signet avec Edition/Signet.
Tapez un texte comme "voir aussi la note" et placez le curseur à l'endroit
où vous devez donner le numéro de note.
Créez un nouveau champ avec Ctrl + F9.
Tapez RENVOINOTE et le nom du signet dans le champ.
Actualisez le champ avec F9.
Si vous voulez que référence soit faite à la page, vous
créez de la même manière le champ RENVOIPAGE où vous
indiquerez également le nom du signet. Le commutateur \* assure la même
mise en forme du texte que dans la note.
Pour démarrer Excel et ouvrir un fichier en fenêtre agrandie, une seule ligne de code vous suffit !
Sub MAIN
Shell "C:\Excel\Excel.exe C:\Excel\Données\Budget.xls", 3
End Sub
Vous remarquez que le chemin complet doit être précisé.
Vous adapterez l'exemple à votre configuration, bien entendu.
Dans notre dernier exemple, on lance Excel et la feuille de calcul souhaitée. Mais si Excel était déjà ouvert, nous prenons le risque de l'ouvrir une deuxième fois, ce qui peut ne pas être très bien supporté par nos "petites" ressources. Il faudra donc prendre le cas échéant quelques précautions. Pour éviter une deuxième ouverture d'Excel
If AppEstLancée("Microsoft
Excel") = 0 Then
Shell "C:\Excel\Excel.exe C:\Excel\Données\Budget.xls", 3
Else
SendKeys "^OBUDGET.XLS{Entrée}"
AppActiver "Microsoft Excel"
FenAppAgrandissement "Microsoft Excel"
End if
Ce qui, dans un langage plus "humain", voudrait bien dire : "Si Excel n'est
pas ouvert, alors il faut bien l'ouvrir et avec le fichier BUDGET.XLS en fenêtre
agrandie, dans le cas contraire (c'est-à-dire, si Excel est déjà
ouvert), nous lui envoyons (depuis Word) les commandes qu'il reconnaît
comme O pour ouvrir le fichier indiqué suivi de la touche Entrée".
Ensuite, nous demandons à ce que Excel passe au premier plan en fenêtre
agrandie.
Une boîte de dialogue pour les saisies des tableaux
Quand vous devez effectuer de nombreuses saisies dans un tableau, vous constatez
comme nous, que ce n'est pas vraiment du meilleur confort. Il est cependant
tout à fait possible, dans n'importe quel tableau Word, d'utiliser un
masque de saisie, comme vous l'avez peut-être déjà rencontré
avec les fonctionnalités de fusion et de publipostage. Bien que rien
ne vous l'indique, vous pouvez utiliser ce genre de masque pour tous vos tableaux.
Vous activez Outils/Personnaliser.
Comme catégorie, vous sélectionnez Toutes les commandes.
Vous repérez ensuite la commande FusionFicheDonnées que vous tirez
vers la barre d'outils de votre choix. Vous aurez un nouveau bouton "symbolisant"
un tableau.
Lorsque vous serez dans un tableau, il ne vous restera qu'à cliquer sur
ce bouton pour obtenir un vrai masque de saisie pour le tableau. Vous disposerez
des mêmes fonctionnalités que pour vos lettres-type habituelles
si ce n'est que vous ne pourrez pas restaurer un enregistrement effacé.
Lorsque vous créez un tableau dans un nouveau document, il se "colle"
tout en haut du document et vous ne pouvez rien faire au-dessus. Par exemple,
vous ne pouvez pas mettre de titre. Placez tout simplement le curseur en haut
à gauche, à côté de la première cellule du
tableau et appuyez sur la touche Entrée. Vous créez ainsi un nouveau
paragraphe qui vous donnera toute latitude.
Il est bien connu qu'un double clic sur un appel de note ouvre le volet de la note de bas de page. Il existe une autre technique, qui peut vous être parfois utile.
Appuyez sur la touche Maj.
Tirez l'ascenseur de la barre de défilement vertical jusqu'à faire
apparaître ce que vous souhaitez.
Un double clic sur l'ascenseur referme le volet.
Si vous utilisez Ctrl, vous ferez la même chose pour une annotation.
Si vous avez généré une table des matières, il
existe une utilisation dont vous n'avez probablement jamais entendu parler.
Un double clic sur un numéro de page vous amène directement à
la page concernée.
Vous pouvez générer des points de suspension en utilisant Insertion/Caractères
spéciaux. La combinaison de touches Ctrl + Alt + <X> les génère
tout aussi bien.
Pour vos fautes de frappe habituelles, vous n'avez pas manqué d'utiliser
avec discernement la correction automatique de Word. Une analyse poussée
de cette très bonne fonctionnalité peut vous ouvrir de nouvelles
perspectives. Plutôt que de passer par des insertions automatiques (cependant
tout à fait appréciables), vous pouvez fort bien "détourner"
la correction automatique de sa mission de base. Si vous demandez de corriger
automatiquement vam en Veuillez agréer, Monsieur, l'expression de mes
sentiments les meilleurs., vous n'aurez de toute évidence pas perdu votre
temps.
Quand vous travaillez sur des champs, vous êtes en présence du
code, de la formule, ou en face du résultat, mais pas les deux ensemble.
Cela peut être embarrassant, surtout lorsque l'on commet une erreur dans
le code et que l'on ne s'en aperçoit que plus tard. Jongler entre les
deux affichages peut d'autre part s'avérer un peu lourd. On peut donc
envisager de créer un clone du champ où vous contrôlez le
contenu du code avec Alt + F9, tandis que vous observez le résultat dans
l'autre.
Lorsque vous travaillez sur un texte en colonnes, il n'est pas rare qu'en fin
de texte, la dernière colonne se présente plutôt mal. Il
n'y a plus assez de texte pour l'alimenter et votre présentation en souffre
considérablement. La solution consistera à insérer un saut
de section continu à la fin du texte. A n'en pas douter, le texte en
sera ainsi certainement beaucoup mieux agencé.
Vous devriez donc, de temps en temps, enregistrer votre fichier sous... le
même nom et confirmer l'écrasement de l'ancien. Le fichier sera
bien entendu intégralement enregistré, et les fragments effacés.
Bien des utilisateurs apprécient de travailler en plein écran pour gagner de la surface d'affichage et ne pas s'encombrer de menus ou de barres d'outils. Dans ce mode d'affichage, vous disposez en bas à droite de l'écran d'une toute petite barre d'outils qui vous permet de revenir à un affichage standard (en ce qui nous concerne, la touche Echap nous paraît beaucoup plus efficace). Mais beaucoup hésitent à travailler de la sorte puisque, précisément, on n'a plus accès aux menus qui sont tout de même importants.
Un petit truc, que personne ne connaît, c'est que si vous pointez avec
la souris sur le bord supérieur de l'écran, vous accédez
directement à vos menus habituels, à leur emplacement normal.
Nul n'est besoin de se faire des repères sur le cadre du moniteur, vous
retrouverez très vite le menu dont vous avez besoin. Notons d'autre part,
que les lettres d'appel avec Alt (comme Alt + F pour Fichier) sont toujours
totalement actives.
Si vous devez effectuer un calcul dans Word, inutile de mettre la main sur
votre calculette personnelle ou de faire appel à celle de Windows, laissez
Word calculer pour vous. Vous créez un champ dans lequel vous indiquez
la nature du calcul. Le champ commence obligatoirement par le signe =. Si vous
tapez donc {=125*56,89} et actualisez le champ avec F9, nous pensons légitimement
que vous obtiendrez 7111,25, comme nous venons de le faire pour vous. Les opérations
possibles ne sont pas celles de Excel, cela va de soi, mais vous pouvez additionner,
soustraire, multiplier, diviser, élever à la puissance ou extraire.
Le champ Demander invite l'utilisateur à effectuer une saisie. En association avec un champ Si, vous serez en mesure de poser également des conditions.
Le champ DEMANDER repose sur la syntaxe suivante :
{DEMANDER Signet "Invite"}
Ce champ, que vous créez depuis le menu Insertion, ou avec Ctrl + F9, comme d'habitude, invite l'utilisateur à effectuer une saisie. Cette dernière ne s'affiche pas directement dans le texte, mais elle est affectée à un signet.
Ce n'est que dans l'hypothèse où vous utilisez le champ RENV pour rappeler le contenu du signet, que votre saisie sera affichée. Vous pourrez de la sorte établir l'adresse d'un destinataire en combinant les deux champs :
{DEMANDER Nom "Précisez le nom"}
{DEMANDER Rue "Précisez la rue et le numéro"}
{DEMANDER CP "Précisez le Code Postal"}
{DEMANDER Ville "Précisez la ville"}
{RENV Nom}
{RENV Rue}
{RENV CP} {RENV Ville}
Cher Monsieur {RENV Nom},Comme vous êtes notre seul représentant
à {RENV Ville}, nous vous serions ...
Puisque vous pouvez poser des questions, vous avez sans doute le droit d'émettre certaines conditions. Un petit exemple pour mieux comprendre : dans l'intitulé de votre courrier, vous voulez vérifier trois choses.
Si le destinataire est un homme, votre texte commencera par : "Cher Monsieur"..
Si le destinataire est une femme, le texte commencera par : "Chère Madame".
Si vous vous adressez à une entreprise, de manière imprécise,
votre texte commencera par : "Madame, Monsieur".
Pour terminer, si aucune des trois conditions n'existe, vous déclenchez
un message d'erreur.
Votre champ va ressembler au suivant :
{SI {RENV Apostrophe} = "Monsieur" "Cher Monsieur {RENV Nom}," {SI {RENV Apostrophe}
= "Madame" "Chère Madame {RENV Nom}," {SI {RENV Apostrophe} = " " "Madame,
Monsieur}," "Erreur, il faut recommencer ! "}}}
Comme vous le constatez, nos conditions sont imbriquées. Si la première
apostrophe équivaut à quelque chose alors nous choisissons le
texte en conséquence. Dans le cas contraire, quelque chose cloche dans
cette affaire.
Il n'est pas toujours nécessaire d'imprimer une lettre pour tous les destinataires d'un fichier, surtout dans une campagne de promotion parfaitement bien ciblée. Le champ SAUTERSI va judicieusement vous venir aide. Une comparaison est effectuée entre deux éléments et la lettre ne sera imprimée que si la condition imposée est vérifiée. Si tel n'est pas le cas, la lettre n'est tout simplement pas imprimée. Un petit exemple : vous ne voulez pas envoyer de courrier à vos clients dont le compte est inférieur à 10.000 francs.
Créez le champ avec Ctrl + F9.
Tapez le nom du champ, SAUTERSI.
Donnez la première expression. Il peut s'agir d'un signet, d'un texte,
d'un nombre, d'une formule ou même d'un champ (pourquoi pas imbriqué
?). Les expressions de plus d'un mot doivent figurer entre guillemets. Spécifiez
l'opérateur de comparaison. Cela peut être égal, supérieur,
inférieur, supérieur ou égal, inférieur ou égal,
différent de.
Donnez ensuite la deuxième expression.
Actualisez le champ, comme de coutume, avec F9.
Le champ de notre propos est :
{SAUTERSI {CHAMPFUSION CA} <10000}
Notons qu'un champ de ce type ne peut être utilisé ni en en-tête
(ou en pied de page), ni en note de bas de page (ou de fin), ni encore en annotation.
Vous pouvez extraire un groupe d'adresses, par exemple, en utilisant plusieurs champs SAUTERSI :
{SAUTERSI {CHAMPFUSION CP} >=80000
{SAUTERSI {CHAMPFUSION CP} <70000
Cette combinaison assure l'impression de lettres-type pour tous les codes postaux
commençant par 7 (de 70000 à 79999).
Vous pouvez très bien créer un champ de manière différente.
Vous tapez le nom du champ, par exemple, PAGE, puis sélectionnez le mot.
Un appui sur Ctrl + F9 génère le champ.
Le champ SI trouve une excellente application dans la maîtrise des caractères de continuation que l'on peut mettre en bas de page (dans le genre ../4). Nous indiquons ce type de renseignement sur toutes les pages du document, sauf naturellement sur la dernière :
{SI {NBPAGES} >= 2 {SI {NBPAGES} {PAGE} "{= {PAGE} + 1}" }}
La première expression vérifie si le document comporte au moins
deux pages. Si tel est le cas, l'expression suivante est traitée. Le
deuxième champ SI compare le nombre de pages avec le numéro de
la page courante. Si la comparaison est fausse, ce qui est le cas sauf pour
la dernière page, le champ PAGE est inséré et incrémenté
de 1.
Il n'y a bien entendu pas de règle de style absolue en la matière, et déterminer la longueur moyenne des mots n'est pas non plus purement un simple exercice académique.
Bien des professionnels auront le plus grand avantage à connaître ce chiffre. Que le CD-ROM que vous utilisez en ce moment fasse 5,49 caractères en moyenne par mot n'est aucunement significatif pour vous, mais il revêt une grande importance pour d'autres.
Vous utiliserez tout simplement les champs NBCARS et NBMOTS, en divisant l'un par l'autre :
{{NBCARS}/{NBMOTS}}
Dans des documents volumineux, vous devez sans cesse revenir sur certains passages, ne serait-ce que pour vérifier ou remanier le texte, insérer une illustration, etc. Le champ BOUTONATTEINDRE pourra vous être d'un grand secours. Il fonctionne au demeurant comme la commande Atteindre à laquelle vous pouvez en outre accéder directement par la touche F5.
Les paramètres sont les suivants :
Destination Paramètre
Annotation a
Champ d
Équation q
Image g
Ligne l
Note de bas de page b
Note de fin f
Objet OLE o
Page p
Section s
Signet (aucun)
Tableau t
Les paramètres du champ BOUTONATTEINDRE
Pour atteindre la page 9 et la ligne 17, le champ sera le suivant :
{BOUTONATTEINDRE p9l17 Atteindre Page 9 Ligne 17}
Vous pouvez mettre en forme le champ avec un cadre, une trame et une couleur
spécifiques pour bien le mettre en valeur dans votre document. Pour ne
pas l'imprimer sur papier, ce qui ne serait d'aucune utilité, vous pourrez
avantageusement utiliser des caractères masqués.
L'ajout d'un bouton, d'une icône si vous préférez, dans le document avec le champ BOUTONATTEINDRE est une vraie marque de professionnalisme.
Copiez une image dans une application graphique et collez-la avec le Presse-papiers.
Créez un champ imbriqué avec le champ INCLUREIMAGE :
{BOUTONATTEINDRE CHAP 10 {INCLUREIMAGE BTN_10.BMP}
Dans notre exemple, le bouton, symbolisant d'une manière ou d'une autre
le chapitre 10, déplace le curseur sur le signet du chapitre 10.
Ouvrez une application comportant un bouton qui vous convient, ou ouvrez une
boîte de dialogue où vous trouvez votre bonheur. Effectuez une
copie d'écran avec ImprEcran.
Lancez Paint (ou PaintBrush) et collez votre copie d'écran (elle a bien
été dans le Presse-papiers).
Sélectionnez le bouton concerné et activez Edition/Copier vers.
Vous créez de la sorte un nouveau fichier, uniquement avec votre bouton.
Ouvrez votre nouveau fichier. Vous n'avez en principe aucune raison de sauvegarder
la copie d'écran.
Copiez le bouton dans le Presse-papiers, et collez-le dans le champ.
Pour qu'un chèque soit vraiment bien rempli, il convient d'écrire le montant en toutes lettres. Fastidieux et totalement ingrat. Essayez, pour voir, le champ
{=23456 \* textemonnaie}
Vous serez bien surpris de voir le montant apparaître, en effet, en toutes
lettres !
Vous pouvez améliorer encore un peu la chose en demandant que soit saisi le montant considéré :
{DEMANDER F "Indiquez le montant : "}
{RENV F} {RENV F \* textemonnaie}
Le premier champ RENV convertit le montant en nombres, le deuxième reprend
les nombres en lettres. Bon, bien sûr au-delà d'un million, cela
ne marche plus ...
D'autres commutateurs que textemonnaie sont intéressants à connaître :
Commutateur Effet
\* alphabétique Convertit un chiffre en lettre (4 = D). L'initiale
de alphabétique (majuscule ou minuscule) détermine la casse du
résultat rendu
\* arabe Convertit les nombres en chiffres arabes. {PAGE \* arabe} renvoie
par exemple 31. Si vous n'avez pas opté pour ce format dans Insertion/Numéros
de page, le commutateur demeure inopérant
\* hex Conversion en hexadécimal. {=1234 \* hex} renvoie 4D2
\* ordinal Conversion en ordinaux arabes
\* romain Conversion en chiffres romains. 1234 renvoie MCCXXXIV. Ici aussi,
on différencie les minuscules et les majuscules
\* textecard Conversion en toutes lettres. 10 = dix
\* textemonnaie Conversion en toutes lettres avec l'ajout de la mention
francs. 10 = dix francs
\* texteord Conversion en nombres ordinaux. 10 = dixième
Activez Affichage/En-tête et pied de page.
Insérez un champ avec Ctrl + F9.
Saisissez la valeur du champ :
{REFSTYLE "Titre 1"}
Actualisez le champ avec F9.
Mettez le texte en forme à votre guise.
Revenez au mode d'affichage de départ.
Word parcourt le texte et insère en en-tête le premier paragraphe
rencontré doté du style considéré. Si vous ajoutez
le commutateur /n à votre champ, la numérotation des paragraphes
s'ajoutée ainsi que celle des chapitres, si elle existe.
À votre grand désespoir, vous avez constaté qu'un cadre ne pouvait entourer qu'un paragraphe. Que faire pour n'entourer qu'un seul mot, précisément pour le mettre en valeur ? Dans la phrase suivante, ce serait bien de pouvoir entourer 1000 F : "Nous sommes au regret de vous informer que votre compte présente un solde débiteur de 1000 F".
Le champ EQ \x va résoudre la question :
Nous sommes au regret de vous informer que votre compte présente un solde débiteur de {EQ \x (1000 F) }
Faites la tentative ! Vous serez convaincu. La seule chose à bien respecter
est de mettre entre parenthèses (un ou plusieurs mots, peu importe) le
texte à encadrer.
Il se peut, et cela est même très fréquent, que certains champs, dans une adresse par exemple, ne soient pas renseignés. Rien ne serait plus désastreux que de "chambouler" la présentation d'une adresse d'une lettre-type à cause de ce vide cruel. Le champ SI va, une fois de plus, nous sauver :
{SI {CHAMPFUSION Apostrophe} = " " "{CHAMPFUSION Apostrophe} " " "}
En d'autres termes, s'il n'y a rien à mettre, on ne met rien, mais on
fait tout de même l'opération !
Si, comme nous venons de l'évoquer, des champs vides sont susceptibles de provoquer de vrais troubles de présentation, vous pouvez remédier à la chose dans les procédures de fusion et de publipostage en activant l'option Ignorer lignes vides. Une excellente chose, en vérité, mais qui ne résout cependant en rien la présence de champs vides sur une même ligne. Comme vous le savez, les champs ne sont pas nécessairement répartis chacun sur une ligne, mais vous pouvez, vous devez même parfois en mettre plusieurs sur la même ligne (Code Postal, Ville, Cedex, par exemple).
L'option mentionnée ne résout pas le problème comme vous pouvez vous en rendre immédiatement compte, si d'aventure l'un de ces champs venait à manquer. Il vous faudra intervenir pour garder un minimum de présentation convenable.
{CHAMPFUSION Apostrophe}
{SI {CHAMPFUSION Société} = " " "{CHAMPFUSION Société}
"}{CHAMPFUSION Nom} {CHAMPFUSION Rue} {CHAMPFUSION CP} {CHAMPFUSION Ville}
Certains appellent cela "pousse-toi de là que je m'y mette". L'expression
a le mérite de la clareté.
Vous ne pourrez pas utiliser le champ INCLUREIMAGE si l'insertion de l'image dépend d'une condition SI. La ligne suivante est impossible :
{SI {PAGE} = 5 "{INCLUREIMAGE C:\WINWORD\IMAGE.BMP}
Vous pourrez détourner le problème en inversant les choses :
{INCLUREIMAGE {SI {PAGE} = 5 C:\WINWORD\IMAGE.BMP}
o{AVANCER l5}/
vous allez générer un "o" avec un barre oblique.
Vous avez imprimé sur papier un document important et, malgré
toute votre bonne volonté, vous n'avez plus le moindre souvenir du nom
de son fichier de base. Après bien des tentatives, vous ne l'avez toujours
pas retrouvé. Cela vous énerve et vous fait perdre du temps. Désormais,
le champ NOMFICHIER, vous évitera ce genre de désagrément.
Si vous ajoutez le commutateur \p, vous aurez en outre le chemin complet du
fichier.
Vous pourrez vous épargner cette contrainte et vous éviter ainsi
d'éventuelles erreurs, en affectant un signet au passage sélectionné.
Vous créez ensuite un champ avec le seul nom du signet. Le champ pourra
être copié où vous le souhaitez, et la modification du texte,
ou de l'image, de base sera automatiquement répercutée dans toutes
les copies.
Lorsque vous utilisez la commande Insertion/Fichier, vous pouvez activer l'option Lier au fichier, ce qui a pour effet de transmettre au document cible toute modification du document source. C'est déjà bien.
Mais ce qui serait encore mieux ce serait qu'une modification du document cible
se répercute également sur le document source. La combinaison
de touches Maj + Ctrl + F7 pour un texte sélectionné dans le document
cible renvoie l'ascenseur, ou plus exactement actualise le document source.
Il ne s'agit donc pas d'un sens unique.
Le champ est du type suivant :
{INCLURETEXTE {CHAMPFUSION FICHIER}}
Il ne vous reste qu'à imprimer le document dans un fichier, sans vous
préoccuper du message d'erreur. Sélectionnez maintenant la totalité
du document avec Ctrl + A et actualisez le champ avec F9. Le texte sera repris
dans la lettre-type.
Si vous utilisez une formule de type =SOMME(AUDESSUS) dans un tableau, le calcul
ne pourra s'effectuer correctement que si les lignes du dessus comportent effectivement
des nombres. Le cas échéant vous devrez donc mettre la valeur
0, quitte à en masquer le texte si cela vous arrange.
Pour compléter ce qui vient d'être dit, vous remarquerez que Word
ne s'embarrasse guère quand il fait un total, une somme, de ce qui est
au-dessus. Il interrompt le calcul dès qu'il rencontre une cellule vide,
même s'il y a encore autre chose plus haut. Vous devrez donc bien mettre
la valeur 0, quitte à la masquer, pour éviter les trous.
Vous avez péniblement élaboré un précieux tableau pour vous rendre compte finalement qu'il ne correspondait pas à ce que vous en attendiez. En fait, vous voudriez bien que les colonnes soient des lignes, et inversement. Aucun problème si vous avez Excel sous la main.
Sélectionnez votre tableau Word (rien que le tableau !).
Copiez-le dans le Presse-papiers.
Collez le tableau dans une feuille Excel.
Puisque le tableau est encore sélectionné, profitez-en pour le
recopier immédiatement dans le Presse-papiers.
Activez la première cellule de la feuille.
Activez Edition/Collage spécial et l'option Transposé.
Sélectionnez la totalité de la feuille et recopiez-la dans Word
à l'aide du Presse-papiers.
Sélectionnez la ligne ou la colonne que vous souhaitez déplacer.
Le plus efficace pour sélectionner une ligne est de cliquer sur sa gauche.
Pour une colonne vous cliquez dedans tout en maintenant la touche Alt enfoncée.
Sortez le pointeur de la souris de la sélection, et replacez-le dessus.
Maintenant, (bouton gauche enfoncé bien entendu), déplacez la
sélection vers son nouvel emplacement. Le petit trait en grisé
vous donne un bon repère.
Relâchez le bouton de la souris, c'est fini.
Quand vous créez un tableau, vous avez très certainement une
idée de la manière dont les cellules doivent être mises
en forme : le texte à gauche et les chiffres à droite, par exemple.
Ce petit truc peut vous aider à résoudre la majeure partie des
problèmes de mise en forme, avant même de créer le tableau
: la définition d'une mise en forme spécifique du paragraphe où
sera créé le tableau, sera automatiquement appliquée à
l'ensemble du tableau.
Lorsque vous introduisez une formule dans un tableau, vous devez donner le format des nombres au coup par coup, puisque vous ne pouvez pas définir de format standard. Vous pourrez cependant définir un tel format en modifiant une macro. Vous activez Outils/Macro. Vous allez choisir dans la liste déroulante Macros disponibles dans l'entrée Commandes Word. Vous retrouverez alors la macro TableauFormule. Vous ne pourrez ensuite modifier la macro que si vous précisez ensuite que vous voulez utiliser le modèle global, c'est-à-dire NORMAL.DOT. Dans la fenêtre macro vous retrouverez le code suivant :
Sub MAIN
Dim Dlg As TableauFormule
GetCurValues Dlg
Dialog Dlg
TableauFormule Dlg
End Sub
Pour définir un format monétaire, par exemple, vous pourrez ajouter
la ligne
Dlg .FormatNuméro = "# ##0,00 F;(# ##0,00 F)"
entre les lignes Dialog Dlg et TableauFormule Dlg.
Veillez à bien reprendre la même syntaxe que celle que vous apercevez
quand vous introduisez manuellement une formule. Si vous voulez utiliser ponctuellement
un autre format, vous pourrez naturellement toujours le faire le moment venu.
Vous pouvez bien entendu toujours sélectionner une colonne dans un tableau
quand le pointeur de la souris est placé juste au dessus de la colonne
et qu'il se transforme en épaisse flèche noire. Mais si votre
tableau est très important, il est tout à fait inutile de le faire
défiler pour revenir à son début. Vous sélectionnez
directement la colonne en cliquant dessus si vous maintenez la touche Alt enfoncée.
Si vous devez effacer des lignes (ou colonnes) sélectionnées
dans un tableau, inutile de perdre votre temps à passer par le menu Tableau.
Vous pouvez opérer directement avec Ctrl + X ou Maj + Suppr.
Le résultat d'une formule est normalement toujours affiché, même
quand il est égal à 0. Si vous ne souhaitez pas voir ces zéros,
vous pouvez toujours adopter un format du type "# ##0,00;(# ##0,00. Vous remarquerez
qu'il s'agit d'un format semblable à celui de Excel.
Si vous avez malencontreusement modifié la largeur d'une colonne dans
un tableau où les colonnes sont de largeur égale, inutile de vous
bagarrer avec les menus et boîtes de dialogue. Sélectionnez l'ensemble
du tableau (le plus simple sera d'utiliser Alt + 5 (du pavé numérique
quand il n'est pas activé). Donnez ensuite dans Tableau/Taille des cellules
une largeur de 0 aux colonnes. Elles se répartiront de manière
égale l'espace disponible entre les marges.
Quand vous travaillez dans un tableau, il est souvent très ingrat de déterminer dans quelle cellule on se trouve. Cela est pourtant très important dans l'élaboration de formules. Une petite macro va résoudre assez efficacement la question :
Sub MAIN
If SélInfo(13) = -1 Then
Colonne = SélInfo(16)
Ligne = SélInfo(13)
Else
MsgBox "Vous n'êtes pas dans un tableau !", "Attention", 16
End If
Colonne$ = Chr$(Colonne+64)
If Colonne > 26 Then
Select Case Colonne
Case 27
Colonne$ = "AA"
Case 28
Colonne$ = "AB"
Case 29
Colonne$ = "AC"
Case 30
Colonne$ = "AD"
Case 31
Colonne$ = "AE"
End Select
End If
Adresse$ = Colonne$ + LTrim$(Str$(Ligne))
MsgBox "Vous vous trouvez en " + Adresse$ + Chr$(13) + Chr$(13) + "Colonne "
+ Str$(Colonne) + "Ligne" + Str$(Ligne)
End Sub
Une commande, on se demande encore pourquoi si "discrète", est à même de "transformer" un bouton en commande de menu. Vous pourriez bien entendu personnaliser le menu considéré, puis retirer le bouton de la barre d'outils. Bien des manipulations en somme. Mais vous pouvez faire encore plus vite :
Activez Ctrl + Alt + D. Le pointeur de la souris se transforme en grosse croix.
Cliquez avec sur le bouton que vous voulez transposer en commande de menu.
Activez Outils/personnaliser. Tirez maintenant le bouton en dehors de sa barre
d'outils.
La commande a été transférée dans un menu. Lequel
? Celui de la catégorie concernée. Essayez par exemple avec le
bouton Afficher/Masquer. Dans le menu Affichage vous aurez désormais
une nouvelle commande Afficher tout (raccourci Ctrl + *).
Si vous travaillez toujours avec le même fichier, vous voudrez sans doute pouvoir l'ouvrir encore plus rapidement, à partir d'un bouton qui serait uniquement le sien. Une autre commande bien "discrète" va vous le permettre :
Ouvrez le document que vous voulez toujours pouvoir ouvrir directement. Vous
ne devrez par la suite pas le changer de place puisque son chemin va être
pris en compte dans la procédure.
Activez Outils/personnaliser/Barres d'outils et dans la liste des catégories,
sélectionnez Toutes les commandes.
Sélectionnez la commande FichierOuvrirFichier que vous ne confondrez
donc pas avec FichierOuvrir simplement.
Word vous affiche en bas à droite de la boîte de dialogue la liste
des fichiers ouverts. Sélectionnez votre fichier.
Tirez maintenant la commande vers la barre d'outils où vous souhaitez
insérer le bouton.
Une nouvelle boîte de dialogue s'ouvre où vous pouvez choisir l'icône
à affecter au bouton. Vous pouvez également opter pour la figuration
d'un texte à la place d'un dessin dans le bouton.
Si vous souhaitez définir votre propre dessin, le plus efficace est de
choisir une icône dont les caractéristiques s'apparentent à
votre projet final. Le bouton Modifier vous permettra de parvenir à vos
fins de manière efficace.
De retour dans la boîte de dialogue vous n'aurez qu'à activer le
bouton Fermer pour que la commande lui soit affectée.
Word est en mesure de revenir sur les 100 dernières actions effectuées.
Vous trouvez cela tout à fait utile, et pour ne rien vous cacher, nous
aussi. Mais si vous passez votre temps au bureau à faire autre chose
que ce pourquoi l'on vous paye, vous prenez de gros risques. Imaginez votre
chef de service découvrant une mention du genre "Chère Tantine,
il y a tellement...", alors que tout au long de la journée, vous êtes
sensé avoir écrit des lettres de rappel à des clients récalcitrants.
Puisque vous êtes, tout comme nous, le meilleur, vous ferez le ménage,
comme si de rien n'était. Vous activerez bien innocemment Outils/Révisions
et l'option Marquer les corrections en cours de frappe. Vous ressortirez de
la boîte de dialogue avec OK. Pas fini cependant : vous réactivez
exactement la même commande immédiatement dans la foulée.
Vous désactivez l'option et sortez de la même manière. Cette
fois, vous pouvez partir tranquille : il ne reste vraiment plus rien ! Si Gaston
Lagaffe avait su !
Mais peut-être ne souhaitez-vous supprimer que la lettre coupable adressée
à Tantine ? Dans ce cas, vous reprendrez la technique évoquée
il y a un instant. Avec Ctrl + Alt + E vous irez cliquer avec votre gros trait
noir sur le fichier litigieux. Si ce ne sont pas de bons tuyaux, tout de même
!
Vous avez défini une structure de la plus haute importance pour votre texte, et vous vous rendez compte que vous vous êtes complètement trompé : certains niveaux devraient être en italique.
Plutôt que de passer un temps fou à remettre les paragraphes incriminés en forme, vous pouvez pratiquer la chose suivante :
Avec la touche Alt appuyée, sélectionnez les paragraphes concernés.
Mettez le texte en forme comme à l'accoutumée.
Si vous avez défini un interlignage spécifique, il ne sera cependant
pas forcément respecté en cas de saut de page. Pour rectifier
le tir, vous devrez activer Outils/Options/Compatibilité et l'option
Supprimer l'espacement Avant. Le bouton Par défaut assure automatiquement
la chose pour tous vos modèles.
Beaucoup d'applications programmées en WordBasic sont de nature commerciale comme la facturation ou la tenue d'un livre de caisse par exemple. Mais bien souvent, le calcul des arrondis pose quelques petits problèmes. Vous pourrez efficacement utiliser la fonction suivante :
Function Arrondir(Nombre, NbDécimales)
If NbDécimales = 0 Then Facteur = 0
If NbDécimales = 1 Then Facteur = 10
If NbDécimales = 2 Then Facteur = 100
If NbDécimales = 3 Then Facteur = 1000
Valeur1 = Int((Nombre * Facteur) / 32767) *32767
Arrondir = (Valeur1 + Int(Nombre * Facteur) - Valeur1 + 0.5 )) / Facteur
End Function
Il est un autre moyen de calculer des arrondis, même si on ne fait pas précisément de calcul et que l'on manipule des caractères :
Sub MAIN
x$ = InputBox$("Entrez le nombre à arrondir : ")
x = val(x$)
La position de la virgule est ensuite évaluée :
p = InStr(x$, ",")
Les chiffres avant et après la virgule sont isolés :
AvantVirgule$ = Left$(x$, p-1)
AprèsVirgule$ = Mid$(x$, p+1)
Si le nombre de décimales est supérieur à 2, le nombre
est décomposé en trois valeurs individuelles :
If Len(AprèsVirgule$) >2 Then
Valeur0$ = Mid$AprèsVirgule, 1, 1)
Valeur1 = Val(Mid$(AprèsVirhule$, 2, 1))
Valeur2$ = Mid$(AprèsVirgule, 3, 1)
Si la troisième valeur est supérieure à 4, la deuxième
est augmentée de 1, sinon la troisième valeur est supprimée
:
If Val(Valeur2$) > 4 Then
Valeur1 = Valeur1 + 1
AprèsVirgule$ = Valeur0$ + LTrim(Str$(Valeur1))
Else
AprèsVirgule$ = Valeur0$ + LTrim$(Str$(Valeur1))
End If
End If
La chaîne est ensuite reconstituée et le nombre arrondi affiché
:
y$ = AvantVirgule$ + "," + AprèsVirgule$
Arrondi = Val(y$)
MsgBox Str$(Arrondi)
End Sub
Créez un cadre de positionnement et ajustez-le convenablement dans votre
document.
Tapez votre texte ou collez votre image.
Sélectionnez le cadre en cliquant sur sa bordure.
Prenez le tout comme insertion automatique. Vous n'aurez plus de problème
pour imprimer vos enveloppes.
La petite macro suivante appelle votre gestionnaire de fax, envoie le fax, reprend l'imprimante par défaut et demande si le document doit être imprimé normalement.
Sub MAIN
FichierConfigImpression .Imprimante = "TRIO DATAFAX sur WINSERVE:"
FichierImprimerDéfaut
FichierConfigImpression .Imprimante = "HP DeskJet 510 sur LPT1:"
Impression = MsgBox("Imprimer le Fax ? ", "Fax", 36)
If Impression = -1 Then FichierImprimerDéfaut
End Sub
Ouvrez Paint où vous tapez votre mot en conservant les attributs de
caractère de votre document Word.
Sélectionnez le mot au plus près possible.
Activez Image/Inverser les couleurs. Vous pouvez également jouer sur
les couleurs bien entendu.
Copiez le mot, désormais en vidéo inverse, dans le Presse-papiers.
Revenez dans Word et collez votre mot à l'emplacement du curseur.
Vous pourrez éventuellement ajuster la position avec Format/Image.
Tapez votre texte dans une cellule Excel.
Mettez-le en forme comme vous le souhaitez.
Copiez la cellule dans le Presse-papiers.
Revenez à Word et effectuez un Collage spécial avec l'option Texte
mis en forme (RTF).
Avantage : Excel est désormais un serveur OLE et vous pourrez utiliser
cette liaison pour tout autre texte.
Le fait qu'une boîte de dialogue ou une image puisse être collée depuis le Presse-papiers laisse supposer que l'on peut aller regarder dedans sans avoir besoin de coller l'image dans le document.
Sub MAIN
On Error Goto Fin
Begin Dialog BoiteDlgUtilisateur 828, 568, "Contenu du Presse-papiers"
Picture 10, 6, 732, 481, "", 3, Image1
CancelButton 710, 511, 100, 32
End Dialog
Dim Dlg As BoiteDlgUtilisateur
Dialog Dlg
Fin:
End Sub
L'option 3 et la chaîne vide vous permettent de vous informer sur le contenu
du Presse-papiers avec Picture. Si le Presse-papiers comporte quelque chose
qui ne peut être affiché, un message annonçant l'absence
d'image apparaît. Pour éviter ce message et traiter l'erreur, nous
devons ajouter le paramètre 16 et donc remplacer 3 par 19
Passer par le menu Format/Paragraphes pour définir des espacements de deux ou trois lignes voire plus encore n'est pas commode.
Générez des styles pour vos espacements spécifiques.
Avec Outils/Personnaliser, vous pouvez leur affecter des raccourcis clavier
du type Ctrl + 2 pour un espacement de deux lignes, par exemple.
Il peut être intéressant d'afficher certains renseignements dans une petite boîte de message. La macro suivante affiche la date, l'heure et l'état des ressources système :
Sub MAIN
MsgBox("Nous sommes le : " + Date$() + " " + Time$() + Chr$(13) + Chr$(13) +
"Ressources disponibles : " + LitInfosSystème$(25), RESSOURCES DISPONIBLES
",64)
End Sub
Si vous exploitez sous Word, et dans une lettre-type, des renseignements provenant de bases de données, vous constaterez sans doute que le point décimal se substitue à votre virgule habituelle.
Affichez les codes de champ avec Alt + F9 et forcez le format en ###.##0,00,
par exemple.
Gérer des adresses avec Excel plutôt qu'avec Word offre un double avantage : les capacités d'Excel sont beaucoup plus confortables en matière de tri et de sélection des données, et Word n'est pas vraiment des plus rapides pour les grands tableaux (surtout en dessous de 16 Mo de mémoire). Mais si vous lancez la procédure de fusion et de publipostage, vous n'aurez accès qu'à la première feuille du classeur Excel. Plutôt que de réorganiser votre classeur, vous pouvez faire autrement :
Dans Word bien entendu, vous lancez la procédure de fusion et de publipostage.
Vous activez l'option Choisir l'importation.
Dans la boîte de dialogue suivante, vous demandez une Feuille de calcul
Microsoft Excel via un convertisseur. Vous êtes ainsi en mesure de choisir
maintenant la feuille que vous souhaitez.
Vous pourrez également opter entre la totalité de la feuille ou
simplement une plage de cellules spécifique.
Le mode de travail Révisions est particulièrement utile dans
un travail d'équipe. Lorsque vous souhaitez effectuer une recherche dans
un document établi dans ce mode, vous pouvez vous limiter aux seuls parties
du texte modifiées plutôt que de faire une recherche sur la totalité
du document. La combinaison Ctrl + Alt + R vous donne cette opportunité
lorsque vous la tapez quand le curseur se trouve dans la zone du critère
de recherche. Cette commande est à bascule, c'est-à-dire que si
vous la répétez, vous repasserez dans le mode Non Nouveau.
Dans les formulaires, des positions très précises doivent souvent
être adoptées. Plutôt que de vous livrer à des calculs
impossibles, utilisez des cadres de positionnement, ou un cadre (zone) de texte
si vous préférez cette appellation.
Si vous souhaitez définir une ligne de référence dans
votre courrier, vous serez souvent embarrassé par le problème
de son positionnement qui peut être remis en cause par le début
du document. Utilisez alors un en-tête, mais oui ! et donnez une valeur
négative à la marge du haut. Votre ligne de référence
restera toujours au même endroit, quelle que soit la nature du document.
Si vous souhaitez présenter certaines parties de votre texte en colonnes,
inutile de vous embarrasser avec des sauts de section là où vous
en avez besoin. Tapez votre texte comme si de rien n'était, sélectionnez
ce que vous voulez voir apparaître en colonnes et à l'aide du bouton
de commande ou du menu Format/Colonnes introduisez le nombre de colonnes que
vous souhaitez. Word arrangera tout le reste automatiquement !
Malgré certaines dispositions, Word n'est pas un programme de P.A.O., loin de là. Les cadres permettent bien entendu de faire se chevaucher image et texte. Mais vous demeurerez très limité, ne serait-ce que parce que le texte demeurera toujours du texte rectiligne. Vous ne pourrez pas, comme ce serait le cas dans un vrai programme de P.A.O., l'aligner sur une courbe, par exemple. Tout de même, vous pouvez essayer la chose suivante :
Insérez votre document graphique dans un document Word, et appelez la
barre d'outils Dessin. Si vous n'y étiez pas encore, vous allez passer
en mode d'affichage Page.
Cliquez sur le bouton Zone de texte dans la barre de dessin. Tracez un cadre
et saisissez le texte (vous pouvez également importer un texte existant
depuis le Presse-papiers).
Avec Format/Options de dessin/Trait, enlevez le cadre de la zone de texte, et
tirez votre texte dans l'image.
Si vous utilisez une police proportionnelle, comme Arial par exemple, pour générer des champs de formulaire, vous constaterez que vous n'êtes pas toujours exactement calé comme il le faudrait. Et c'est bien naturel puisqu'une police proportionnelle, contrairement à une police linéaire telle que Courier, ne présente pas des caractères de largeur identique. Si vous tenez à votre police proportionnelle, voilà comment faire :
Placez un taquet de tabulation là où doit se terminer le champ.
Le plus simple est de le faire depuis la règle.
Effectuez un double clic sur le taquet et choisissez un alignement à
gauche avec un caractère de suite de type soulignement.
Si vous appuyez maintenant sur la touche Tab, les champs auront une longueur
identique quelle que soit la longueur du mot saisi.
Quand vous encadrez un paragraphe, les choses se passent sans grande difficulté et le cadre se positionne entre les marges. Mais si vous y prêtez bien attention, le paragraphe ainsi encadré est légèrement plus large que les autres, du moins est-ce le cadre qui "déborde" par rapport aux marges. Ce n'est pas idéal.
Activez Format/Bordure et trame et regardez bien quels sont les paramètres
utilisés : épaisseur du trait et distance au texte. Si votre trait
fait 3 points (1 point ~ 0.35 mm) et que la distance au texte est de 5 points,
nous avons un total de 8 points.
Il ne vous restera qu'à apporter un retrait à gauche et à
droite de cette valeur totale dans Format/Paragraphes/Retrait et espacement.
Comme à ce niveau, l'unité de mesure est le cm, il vous faudra
explicitement indiquer pt.
La plupart des commandes originelles de Word sont largement suffisantes pour une grande majorité des utilisateurs. Certains cependant voudront peut-être adapter un peu les choses à leur convenance. Pour modifier FichierOuvrir et lui faire exécuter votre propre macro, voilà comment faire :
Copiez votre macro (après l'avoir tout de même bien testée)
dans le Presse-papiers et activez Outils/Macro.
Choisissez dans la liste déroulante des macros disponibles Commandes
Word et choisissez ensuite FichierOuvrir.
Indiquez ensuite que la macro doit être Enregistrée dans NORMAL.DOT.
Le bouton Créer est désormais disponible, vous l'activez. La fenêtre
macro s'ouvre avec le code de la commande FichierOuvrir. Vous sélectionnez
le code et collez le vôtre depuis le Presse-papiers.
Vous refermez la fenêtre macro avec Ctrl + F4 ou Ctrl + W et répondez
oui à la question concernant la sauvegarde des modifications.
Si vous voulez rétablir la commande originale, vous renommez votre macro,
elle pourra toujours servir, ou alors vous l'effacez simplement.
La règle est un bon moyen de se repérer globalement. Mais si
vous avez besoin d'ajustages très fins, elle ne vous plus d'une immense
utilité. Vous utiliserez alors la touche Alt pour mettre en place vos
taquets de tabulation ou définir la largeur de vos colonnes. La taille
ou la position exacte s'affichera en clair.
Quand vous voulez extraire une racine, vous devez utiliser le caractère
^ (caret) qui est en principe destiné à l'élévation
à la puissance. Suivant le principe qu'une racine carrée est une
exponentielle décimale de type 9 ^ 0,5 = 3, nous n'aurons pas plus de
difficulté pour extraire une racine cubique. Mais attention ! Si vous
formulez votre calcul de la manière suivante : 27^1/3, vous allez complètement
vous fourvoyer. Vous n'obtiendrez pas 3 comme résultat, ce qui serait
parfaitement correct, mais bien 9 dans la mesure où une exponentielle
est toujours calculée avant une division. Dans ce cas de figure, le calcul
sera donc 27 puissance 1 = 27 divisé par 3 = 9. Il vous faudra, comme
dans bien des cas, utiliser des parenthèses pour isoler les calculs :
27^(1/3) sera donc la bonne formulation.
Utiliser des données Access dans un document Word est une excellente
chose, à condition bien entendu de passer par le gestionnaire ODBC approprié.
Les choses se passent habituellement assez bien. Mais si la base de données
comporte plus de trois champs de type mémo, le gestionnaire perd tous
ses moyens. Ne restera qu'à modifier la structure de la base, et de s'en
souvenir à l'avenir.
Quand vous ouvrez un document avec un modèle, comme NORMAL.DOT, et que
vous activez la coupure de mots, les paramètres définis seront
automatiquement repris pour tous les documents fondés sur ce modèle.
Donc, inutile de s'en soucier par la suite.
La touche F5 lance directement la commande Atteindre. Mais si vous avez la
souris en main, essayez d'opérer un double clic sur la barre d'état.
Si vous effectuez un double clic sur un taquet de tabulation dans la règle,
vous ouvrez directement la boîte de dialogue correspondante.
Si vous effectuez un double clic dans la règle sur l'un des symboles
de mise en forme des paragraphes, vous accédez directement à la
boîte de dialogue correspondante. La petite fenêtre d'aperçu
vous donne tout de suite une idée des modifications que vous entreprenez.
Un double clic sur une zone libre de la règle ouvre automatiquement
la boîte de dialogue Mise en page.
Les combinaisons de touches avec Alt, Maj et Ctrl et leurs différentes
associations comme Alt + Ctrl offrent des possibilités assez vastes.
Dans le cas où vous parviendriez à saturation, il existe aussi
des combinaisons complémentaires du type Ctrl +, ou encore Maj + Ctrl
+. auxquelles vous ajoutez ensuite la lettre souhaitée. Dans ce genre
de combinaison, la commande ne s'exécute qu'après la frappe de
la lettre affectée.
Il n'est pas toujours souhaitable que toutes les commandes Word soient disponibles tout le temps pour tout le monde. Si vous avez par exemple élaboré des modèles ou des styles, pour que tout le monde travaille avec les outils de présentation semblables, vous ne souhaiterez certainement pas que l'on puisse les modifier. Pour annuler une commande, le plus simple est d'en afficher le code dans la fenêtre macro et de supprimer tout le texte se trouvant entre Sub MAIN et End Sub. Si la commande est appelée, il ne se passera rigoureusement rien et vous pourrez même faire afficher une boîte de message du type :
MsgBox "Vous n'êtes pas autorisé à effectuer cette transaction
!"
Dans bien des cas, il n'est pas inutile de définir sa propre extension de fichier. Quand vous travaillez, par exemple, sur un gros projet et que vous voulez repérer sans difficulté tous les fichiers appartenant spécifiquement au projet. Il est sans doute plus facile de repérer des fichiers .MAN parmi des fichiers .DOC que des fichiers .DOC au milieu d'autres fichiers .DOC. Sous Word 6 vous modifierez la ligne Doc-Extension = .XXX
Une telle modification pourra également se faire pour les fichiers modèles .DOT. Mais dans ce dernier cas, il faudra que le type de fichier par défaut à l'ouverture soit fixé à Tous(*.*).
Le plus efficace sera certainement d'aller modifier la commande FichierOuvrir.
Sub MAIN
On Error Goto Fin
Dim Dlg As FichierOuvrir
GetCurValues dlg
dlg.Nom = "*.*"
Dialog dlg
FichierOuvrir dlg
Fin:
End Sub
Si vous avez détruit malencontreusement un modèle de document,
il est peut-être possible de le récupérer plutôt que
de tout reconstituer. Ouvrez un document qui reposait sur ce modèle,
effacez le texte, et enregistrez le document comme modèle, avec l'extension
.DOT. Vous devriez tout retrouver.
Si vous constatez que vos envois fax perdent certains attributs de mise en
forme ou que ces derniers sont modifiés, vous pouvez activer l'option
Envoyer en tant que pièce jointe dans Outils/Options/Général.
Si vous utilisez très fréquemment des raccourcis clavier, vous
serez sans doute amené à agencer ou modifier les raccourcis proposés
par défaut. Vous pourrez ainsi avec le raccourci Ctrl + Alt + K (le pointeur
se transforme en une sorte de trèfle à quatre feuilles) accéder
à une commande de menu pour modifier, ou tout simplement créer,
son raccourci clavier. En cliquant sur la commande, vous ouvrez en réalité
la boîte de dialogue Personnaliser/Clavier pour la commande concernée.
Si, si, vous avez bien lu ! Dans Word vous ne pouviez pas (et c'est bien toujours
le cas) sélectionner des parties de texte qui ne soient pas contiguës.
La nouvelle fonctionnalité de surlignage (version 7), qui présente
un véritable intérêt au demeurant, peut être complètement
détournée de sa mission première pour assurer ce genre
de sélection "multiple". Si vous voulez, par exemple, mettre en gras
des mots isolés à différents endroits du document, vous
les surlignez tout bêtement avec le "marqueur" (le surlignage, lui, n'a
cure de la contiguïté) et demandez de remplacer le format surlignage
par un format de caractères en gras. Efficace, n'est-ce pas ?
Quand vous générez une table des matières avec Insertion/Tables
et index, il est totalement impossible de la trier par ordre alphabétique
(ce qui n'est cependant pas une démarche totalement absurde) parce que
vous allez vous battre avec des champs. En revanche, si vous convertissez les
champs en texte normal par Maj + Ctrl + F9, vous pouvez tranquillement utiliser
Tableau/Trier le texte. C'est un peu "tiré par les cheveux" ? Non, pas
tellement, mais nous vous conseillons d'opérer ce genre de manipulation
sur un document définitif : la table des matières traitée
de la sorte ne pourra plus être modifiée.
Vous ignorez certainement qu'un double clic sur EXT dans la barre d'état
vous permet de sélectionner d'un seul coup tout ce qui se trouve entre
le curseur et l'endroit où vous cliquez. Maintenant, vous le savez et
auriez tort de ne pas en profiter.
Lorsque vous mettez un ombrage dans un paragraphe, ce dernier est naturellement
limité aux marges (ou aux retraits le cas échéant). Si
vous souhaitez que l'ombrage "déborde", vous créez une bordure
autour du paragraphe, donnez une distance au texte suffisante pour dépasser
du texte. Si les traits de la bordure vous gênent, vous pouvez très
bien leur donner la couleur blanc : ils disparaissent et il ne reste plus que
l'ombrage.
La combinaison de touches Ctrl + Maj + N vous fait revenir directement au style
Normal. Vous n'avez pas besoin d'aller le rechercher dans la liste des formats.
Avoir beaucoup de polices de caractères sous la main est une bonne chose et permet de travailler sans contrainte. Mais bien des polices se ressemblent et trop de polices disponibles ralentissent le système. Essayez la petite macro suivante pour déterminer les polices dont vous avez vraiment besoin :
Sub MAIN
FichierNouveauDéfaut
For a = 1 To ComptePolices()
Police Police$(a)
Insertion "texte dans la police" + Police$(a)
InsertionPara
Next a
b=MsgBox("Imprimer le fichier ? ", "Polices", 4)
If b=-1 Then FichierImprimerDéfaut
End Sub
La macro lit les polices dans un fichier et vous propose à la fin de
l'imprimer. Vous pourrez alors vraiment sélectionner les polices inutiles.
Quand vous actualisez un index ou une table des matières et que vous
constatez un décalage entre la réalité de la numérotation
des pages et le résultat obtenu, c'est certainement dû au fait
que votre document comporte du texte masqué. Le texte masqué ne
sera pas imprimé, c'est un fait, mais quand il est affiché, il
est pris en compte dans la numérotation des pages, d'où le décalage.
Vous veillerez donc à ne pas l'afficher (Outils/Options/Affichage au
moment où vous faites l'actualisation de la table ou de l'index). La
numérotation correspondra au résultat sur papier.
Par défaut les boutons des barres d'outils vous sont proposés
dans un certain ordre, qui ne convient pas nécessairement à votre
manière de travailler. Inutile de passer par Outils/Personnaliser/Barres
d'outils. Vous pouvez modifier la position des boutons à votre guise
en utilisant Alt pendant que vous effectuez le déplacement avec la souris.
Avec Ctrl + Alt, vous effectuez une copie du bouton.
La combinaison Maj + F5 vous permet de revenir (par étapes bien sûr)
aux trois derniers emplacements où vous vous êtes déplacé
dans le document. La quatrième fois, vous revenez d'où vous êtes
parti.
Si vous souhaitez changer la casse d'un mot, vous pouvez très bien utiliser
le raccourci Maj + F3. Il suffit que le curseur se trouve dans le mot concerné.
Vous passerez ainsi de minuscules en majuscules sans difficulté et inversement.
Si le mot est en minuscules, la première combinaison lui donne une majuscule
initiale, et la deuxième le met en entier en majuscules. Si le mot est
en majuscules, la première combinaison le met en minuscules, et la deuxième
lui donne une majuscule initiale.
L'outil de coupure de mots de Word fonctionne globalement assez bien et constitue une aide appréciable. Il n'en demeure pas moins que, de temps en temps, les propositions ne sont pas vraiment idéales. Dans les cas litigieux, vous pouvez forcer un peu la main à Word :
Saisissez le mot et donnez un trait d'union insécable Ctrl + Num -.
Sélectionnez le mot.
Activez Outils/Langue/Pas de vérification.
Dans Outils/Correction automatique, demandez le remplacement du mot par lui-même,
mais avec votre césure à vous. Pour que le tiret soit reconnu
et correctement interprété, vous devrez également activer
l'option Texte mis en forme.
Peu nombreux sont ceux qui savent que les fonctionnalités de tri de
Word sont également opérationnelles sur les dates. Les paragraphes
qui ne contiennent pas de date ne sont naturellement pas triés et placés
en début (ou en fin de document suivant l'ordre choisi), les autres sont
triés suivant la date qu'ils contiennent. Si l'année n'est pas
présente dans la date, c'est l'année courante qui est prise en
compte. Vous ne voyez pas d'application utile pour ce genre de tri ? Pensez
à votre journal intime ou à l'historien qui travaille sur une
chronologie, par exemple.
Il peut être tout à fait utile de faire figurer les titres de
paragraphes en retrait négatif, c'est-à-dire décalés
dans la marge de gauche par rapport au texte. Le plus efficace sera de donner
ce type de retrait aux différents styles de titres. L'intérêt
de la démarche est le suivant : vous pouvez moduler la taille des retraits
en fonction de la hiérarchie souhaitée (n'oubliez pas que vous
disposez de 9 styles de titre).
Si vous avez scanné votre signature, notamment pour pouvoir signer un
fax géré par votre ordinateur, le fichier est la plupart du temps
au format .PCX. Il est disponible et peut être "détourné"
par n'importe qui. Une solution efficace consiste à coller votre image
(signature) dans un document Word que vous enregistrez avec un mot de passe.
Vous pourrez détruire votre fichier .PCX sans danger, et serez le seul
à pouvoir accéder à votre SIGNATURE.DOC dont vous utiliserez
librement l'image.
Si vous souhaitez ouvrir plusieurs fichiers en même temps, pour par exemple
les regrouper en un seul et unique fichier, vous ne devrez pas le faire individuellement
pour chacun d'entre eux. Avec Ctrl, vous pouvez sélectionner des fichiers
isolés dans la boîte de dialogue Ouvrir, et avec Maj, vous pouvez
sélectionner des plages contiguës de fichiers.
Si vous sélectionnez une marque de paragraphe pour la copier dans le Presse-papiers, vous pourrez donner les mêmes attributs de mise en forme à n'importe quel autre paragraphe en collant la marque de paragraphe ailleurs dans votre document.
Notons bien à ce propos que si un mot est sélectionné
sans la marque de paragraphe, ce sont les attributs de caractère qui
sont repris. Mais si vous sélectionnez le mot et la marque de paragraphe,
ce sont bien les deux types d'attributs qui sont recopiés.
Le travail en mode Plan est très utile pour de gros documents. La lisibilité
en est bien meilleure. Bien entendu pour organiser votre structure, vous utiliserez
les outils spécifiques du mode Plan. Cependant, si vous êtes amené
à apporter des modifications à votre structure, vous allez bientôt
jongler entre le clavier et la souris, ce qui est loin d'être gratifiant.
Avant de taper vos titres, vous pouvez jouer sur le niveau hiérarchique
avec Tab (un niveau inférieur) ou Maj + Tab (un niveau supérieur).
Lorsque vous agrandissez ou réduisez une image vous pouvez toujours
la rétablir dans sa dimension originelle avec Format/Image/Rétablir.
Cela va encore plus vite si vous effectuez un double clic avec la touche Ctrl
enfoncée. Pour découper une partie de l'image vous utiliserez
la touche Maj en même temps que la souris.
Pour la première fois, la version 7 de Word permet d'éditer du
texte en mode d'affichage Aperçu avant impression. Vous cliquez sur la
Loupe pour agrandir convenablement le texte. À la suite d'un nouveau
clic sur le bouton, vous vous retrouvez en mode d'édition de texte et
vous pourrez apporter toutes les modifications voulues.
La mise en forme d'un texte existant ne peut se faire qu'après sa sélection.
Mais que faire si vous ne souhaitez sélectionner que la partie de gauche,
par exemple, d'un paragraphe quand vous ne travaillez pas en tableau ? Utilisez
en même temps que la souris la touche Alt, vous ne sélectionnerez
que ce que vous voulez.
Si vous travaillez en plein écran pour avoir un maximum d'espace de
travail, vous pourrez faire apparaître tout de même certains éléments
bien utiles tels que les barres de défilement ou la barre d'état
avec Outils/Options/Affichage.
Lorsque vous formatez votre texte de manière justifiée, les espacements
entre les mots sont variables. Quand vous passez à la ligne avec Maj
+ Entrée pour ne pas créer de nouveau paragraphe, il se pourrait
que cette ligne présente des trous entre les mots, ce sera du plus mauvais
effet. Placez-vous en fin de cette ligne, avec Fin, par exemple, et appuyez
sur Tab. La ligne s'aligne à gauche et votre texte reprend bonne figure.
Si vous voulez aligner sur la même ligne des mots sur la gauche et d'autres
sur la droite, vous allez certainement trouver une solution avec des tabulations
adéquates. Mais il y a encore plus simple. Tapez le premier groupe en
donnant un espace insécable entre les mots avec Maj + Ctrl + Espace.
Après un espace normal, vous tapez le deuxième groupe avec des
espaces insécables également. Avec un format de paragraphe justifié,
vous terminez cette ligne avec Maj + Entrée. Le truc a marché
tout seul.
Avec Word 7, vous pouvez créer un dossier sans même sortir de
Word avec les fonctionnalités de la boîte de dialogue Ouvrir. Sous
Word 6 vous pourrez également le faire sans passer par le Gestionnaire
de fichiers. Le bouton Nouveau de Outils/Options/Rép. par défaut
le permet également. Notez cependant que le dossier sera un sous-dossier
du dossier courant
Si vous sélectionnez les adresses de l'expéditeur et du destinataire
et que vous leur affectez respectivement les signets Destinataire et Expéditeur,
les champs correspondants seront automatiquement renseignés dans la boîte
de dialogue Enveloppes et étiquettes.
Dans bien des cas d'importation de texte, chaque ligne se termine par une marque de paragraphe. Nous ne pouvons utiliser un remplacement de cette marque par un espace dans la mesure où nous prenons le risque de supprimer une "vraie" marque de paragraphe. La macro suivante est un bon moyen de résoudre la question :
Sub MAIN
DébutDocument
EditionRemplacer .Rechercher = "^p^p", .Remplacer = "####", .RemplacerTout
REM FichierEnregistrer
DébutDocument
EditionRemplacer .Rechercher = "^p", .Remplacer = " ", .RemplacerTout
REM FichierEnregistrer
EditionRemplacer .Rechercher = "####", .Remplacer = "^p^p", .RemplacerTout
End Sub
Par précaution, on commence par aller au début du document. Ensuite,
on recherche deux marques de paragraphe successives pour les remplacer par des
dièses.
On enregistre éventuellement le document. Ensuite les marques de paragraphe
simples, donc les fausses, sont remplacées par un espace. Après
une nouvelle sauvegarde, les dièses sont remplacés par deux vraies
marques de paragraphe.
Quand vous utilisez la coupure de mots, il existe ce que l'on appelle une "zone
critique" permettant de définir l'espacement par rapport à la
marge où il convient de s'interroger sur l'opportunité d'une césure.
Une zone généreuse limite le nombre de coupures. Si vous optez
pour la valeur minimale de 0,25 cm, vous augmentez sensiblement le nombre de
césures.
Lorsque vous faites des conversions entre différents formats de texte, le résultat n'est pas toujours fabuleux, notamment si vous avez des accents, des trémas ou autres caractères un peu durs à digérer. Nous ne parlons évidemment pas de l'échec total d'une conversion. Pour améliorer considérablement la chose, vous pouvez utiliser la macro suivante :
Sub MAIN
EditionSélectionnerTout
x$=Sélection$()
DOSVersWIN$(x$)
End Sub
Pour bénéficier de toutes les fonctionnalités de l'Éditeur d'équations, vous devrez pouvoir le lancer en tant que programme autonome. Sous Word 6, vous irez modifier EQNEDIT.INI où vous mettrez dans la section [General] la valeur 1 à la ligne :
ForceOpen =
Sous Word 7, vous irez dans la base des registres sous HKEY_CURRENT_USER\SOFTWARE\MICROSOFT\EQUATION_EDITOR\2.0\OPTIONS\GENERAL où vous mettrez également ForceOpen à 1.
Vous serez ainsi en mesure d'utiliser les raccourcis clavier propres à l'éditeur et même de zoomer.
Une autre solution consiste à activer les codes de champ avec Alt +
F9, pour afficher l'Éditeur d'équations dans une fenêtre
autonome.
Lorsque vous utilisez un outil de dessin, une fois que vous avez dessiné
votre objet, vous revenez à votre mode de travail normal. Mais si vous
voulez dessiner successivement plusieurs objets, vous devez réactiver
l'outil. Pour vous éviter ce léger souci, vous pouvez effectuer
la première fois un double clic. L'outil de dessin demeure actif, et
vous pouvez donc créer successivement plusieurs objets. L'outil demeurera
actif tant que vous ne recliquerez pas dessus.
Vous pouvez bien entendu établir une table d'illustrations à
partir des légendes que vous avez données à vos illustrations.
Cela peut prendre un certain temps. Il existe une méthode sans doute
plus efficace. De manière assez générale, votre table des
matières, fondée sur les titres, n'ira guère plus qu'à
4 niveaux de titres. Or, vous savez fort bien que Word vous propose 9 niveaux
de titres si vous le souhaitez. Pourquoi ne pas en profiter pour affecter, par
exemple, le niveau 6 à vos illustrations et le niveau 7 à vos
tableaux ? Si ce n'est pas du vrai confort, nous allons nous lasser de vous
donner tant d'astuces.
Si vous définissez un nouvel intitulé pour vos légendes
(Insertion/Légende/Nouvel intitulé), vous pourrez créer
dans Insertion/Tables et Index/Table des illustrations une table qui n'a pas
forcément rapport avec celle des illustrations
Si, pour certaines raisons de sécurité ou de discrétion,
vous avez supprimé une commande de menu, vous ne serez vous-même
plus en mesure de lancer cette commande. Vous pourrez cependant y accéder
en appelant cette commande depuis Outils/Macro/Commandes Word/Exécuter.